mercredi 2 février 2005

chers lecteurs ne vous affolez pas je règle mes comptes eh bien oui vous connaissiez les hoax je n'invente pas la poésie virale voici l'antibiotique

mes tristes respects
mes confuses futiles
mes graves baisers
mes parfaites perfidies
mes ruptures totales

cessez donc ma chère
le grotesque ne tue pas
la mort ne tue pas
les discours autonomes
c’est bien
vous lisez plus que vous en avez l’air

mes frileuses salutations
mon profond déplaisir
mes meilleures indifférences

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