jeudi 4 octobre 2007

Post-azur.

Glace et fige l’heure des cinquièmes saisons
Quand ton cœur comprimé piège l’enrôlement,
Abandonne les fictions dont le fuel lent
Et polluant des étés suce l’irradiation.

En face et pire de ceux desquels l’émotion
Poussiéreuse du bas violace mal
Les agréments réglés d’un climat si fatal,
Éteins bien le cycle, chasse la dévotion.

Écrase les faits qu’un feu lâche, vrai, venteux
Brûle en tes yeux. Saute sur ce qui, curieux,
Ennuie tes artères. Nuit sur l’inédite ère,

Violemment illuminée du rêve furieux,
Gondole orangée chargée du sang nécessaire,
Ton pouls désaliéné s’égoutte enfin heureux.

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